De manière générale, les formateurs sont toujours hésitants à l’idée d’introduire un appareil électronique dans leur salle de cours. Ce qui est tout à fait compréhensible. La moindre petite faille peut perturber toute la formation. Les participants peuvent se centrer sur les gadgets que sur la formation elle-même. Pourtant, une invention a su capter l’attention et l’enthousiasme des enseignants. Il s’agit du boîtier de vote interactif. Outil d’interaction directe avec les participants, le boîtier de vote interactif est de plus en plus utilisé dans le système éducatif.

Un appareil simple d’utilisation

Les appareils technologiques utilisés dans les salles de cours ont toujours été difficiles à manipuler par la majorité des formateurs. Le couple vidéoprojecteur et PowerPoint est un duo désastreux pour certains enseignants. Les problèmes rapportés : bande passante insuffisante, grains de sable sur l’écran, absence de code wifi, des équipements incompatibles. En plus d’être difficiles à utiliser, ils sont fragiles et coûtent cher. Le système d’évaluation par boîtier de vote interactif intéresse par contre les formateurs dans la mesure où ils peuvent instantanément évaluer la capacité de compréhension des élèves. Ils posent des questions et ces derniers répondent tout de suite. Les étudiants peuvent former un groupe ou travailler individuellement. Ils peuvent aussi choisir de signer leurs réponses ou les rendre anonymes. Les boîtiers de vote interactif sont faciles à utiliser. Il suffit pour les étudiants de cliquer sur l’appareil pour que le logiciel de vote connecté à un ordinateur à distance puisse recueillir les informations et les transmettre au formateur. Ceci permet ainsi une évaluation rapide et à temps réel.

Une meilleure interaction entre les participants

L’objectif de tout formateur est de pouvoir interagir avec les étudiants de manière active et ouverte. La solution du boîtier de vote interactif est intéressante dans la mesure où l’appareil permet d’évaluer tous les participants, et même ceux considérés comme des « élèves invisibles ». Le formateur n’est plus le seul acteur principal de la formation. Tout le monde peut participer de manière active.

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